Les Sentiers du Marais

[ Les chroniques de la Libellule ]

Nom de plume pour les Sentiers du Marais / Super U Saint-Jean-de-Monts

L’histoire de l’emballage

Étymologiquement, emballer signifie « mettre en balle », opération effectuée par des emballeurs chargés de grouper les marchandises, les bagages, les biens dans des balles. On trouve l’origine de ce mot au XIIIe siècle dans le vieux bas-francique bala, désignant un ballot, ou encore le gaulois ballu apparenté à bulga qui fait référence à un sac de cuir.

En botanique, la balle est l’enveloppe des grains de céréales telles que l’orge, l’avoine, le blé, l’épeautre ou encore le riz… mais en agriculture, la balle, le ballot ou ballotin est le conditionnement de matières premières comme par exemple le coton, la paille, le foin ou le chanvre. Dans l’industrie, une balle est un paquet de marchandises enveloppées et maintenues par des cordes et dans l’imprimerie, elle désigne un contenant de bois en forme d’entonnoir utilisé pour encrer les formes des presses typographiques […]

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Le sport, un vecteur de paix, d’égalité sociale… et de parité ?

Force et vitesse étaient indispensables à l’homme primitif pour assurer sa survie, chasser, se nourrir et se protéger des menaces, ce qui a donné lieu plus tard à des disciplines sportives comme : course à pied, lutte, lancer du javelot, lancer du marteau, tir à l’arc, escrime…

Les plus anciennes scènes de courses à pied remontent à 3500 avant J.-C., mais la première véritable Olympiade eut lieu en 776 avant J-C., avec l’athlète Koroïbos qui fut sacré champion de course à pied à Olympie et dont le nom fut gravé dans la pierre. Les Jeux antiques sont nés d’une volonté politique de pacification de la Grèce pour mettre fin aux calamités qui la ravageaient, grâce à la trêve sacrée : Olympie devenait un lieu sacré, inviolable et protégé par les dieux. Encore aujourd’hui, les Olympiades font l’objet d’une résolution des Nations Unies.
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Soyons fous, ennuyons-nous !

Petite invitation à la flânerie…
La paresse est mal perçue dans notre société, associée à la fainéantise elle est même l’un des sept péchés capitaux… Elle est pourtant nécessaire à notre équilibre : sans temps de pause, le cerveau ne peut pas assimiler les informations qu’il accumule sans cesse et nous ne nous ressourçons pas. Certaines études rapportent même qu’un cerveau qui s’ennuie fonctionne de façon toute aussi intense, voire plus que lorsqu’il est actif.

Plus qu’un moment de détente et de plaisir, les moments de paresse sont vitaux à notre organisme. Pourtant, à une époque où tout va de plus en plus vite, où nous sommes en permanence sollicités et où il est mal vu d’avoir l’air inoccupé, nous ne savons plus ne rien faire. Frédéric Lenoir, dans un entretien avec Elle, nous rappelle que « nos outils de communication, qui sont censés nous faire gagner du temps, nous en font perdre énormément. »
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